Etrange cette question dont la réponse paraît aller de soi

Elle interroge cependant plus profond qu’il n’y paraît

La maladie serait-elle parfois un refuge contre un plus grand mal-être ?

Guérir n’a pas toujours la légèreté invoquée

C’est rentrer dans le rang, cesser d’être différent, marcher sans bâton

Est-on toujours sûr de vouloir être bien-portant quand cela veut dire se prendre en main, là où on se laissait prendre par la main ?

Francine Carillo, théologienne réformée suisse